Solo dansé, interactif et joyeux.

Quand le Chat n’est pas là… que fait-on ?
La musique est choisie, il n’y a plus qu’à pousser un peu les meubles, je mets mes
chaussures de bal et ma belle robe de dentelle…Ces chansons ont traversé les années, ce n’est pas pour rien, elles nous parlent de nous avec tant de justesse. Je les interprète pour vous, je vous les danse.

« Quand le Chat n’est pas là », c’est un peu comme si on cuisinait ensemble ou
comme si on se racontait des histoires… enfin bref… je vous invite chez vous ou pas
très loin, à partager un moment de vie.

Contexte de création :
Ce solo répond à une urgence. Celle de partager des moments de vie, des moments de
joie. Mais comment partager une danse quand on n’est pas danseur, alors que l’expression du corps n’est plus un moyen d’expression dans notre société. Aujourd’hui il est courant
d’échanger des mots à l’oral ou à l’écrit. Aujourd’hui, il est normal de communiquer avec
des images. Il est bien moins évident de regarder un corps qui s’exprime. Aller voir un
spectacle de danse dans une salle bien à l’abri dans un fauteuil, c’est possible.
Mais mon intention avec ce solo est de rompre cette frontière danseur/spectateur. Mon
souhait est de partager un moment de vie, partager ces danses avec le public. Le spectacle
se fait en complicité avec les spectateurs. Pour cela, je m’appuie sur des musiques du
répertoire commun et je les interprète en mouvement en jouant avec les paroles, les
rythmes, les émotions.

Présentation :
« On transporte toujours sa danse avec soi ».
C’est l’avantage. Là où ça se complique, c’est quand on ne l’a pas encore trouvée.
Danser, c’est exprimer sa joie, sa peine, sa colère, sa tendresse.
Danser c’est comme respirer, marcher, courir, parler, crier, mais tout en même temps.
Danser, c’est dire sans les mots et à travers tout son corps.
Je danse depuis longtemps maintenant, j’ai appris et je continue à apprendre avec d’autres danseurs, d’autres chorégraphes, d’horizons variés le vocabulaire nécessaire.
C’est ainsi que parfois je danse pour lorsque j’interprète des créations.
et parfois je danse avec lorsque j’anime des séances. Alors j’aime penser que je cherche à
faire émerger la danse qui est en nous.
J’anime régulièrement des ateliers danse avec cette idée que danser est accessible à ceux
qui le souhaitent. La danse a quelque chose à voir avec la joie, avec l’expression de nos
émotions. Lors d’un atelier, on se prépare physiquement et mentalement à « ouvrir la
porte ». C’est aussi un temps de (re)prise de conscience de son corps, de TOUTES ses compétences. Le corps c’est magique ! Comment peut-on faire tout cela en même temps ?